jeudi 8 novembre 2007

Samedi 22/09/2007

Nous décidons d’aller à Qingdao en train, commandons les billets aller à l’hôtel, il n’y en a plus que pour le lundi soir et impossible d’avoir le retour ! Il va nous falloir aller à la gare de Beijing. Entre temps, les Allemands ont pris les vélos, impossible d’en trouver à l’hôtel lishi. Nous partons donc à pied et nous colletons la gare : queues géantes mais rapides (nous sommes les seuls occidentaux) et pour finir, nous apprenons qu’il faudra les acheter à la gare de Qingdao… bonjour le stress !

Nous sortons de la gare, connaissant le coup du taxi, remontons une petite rue sur la droite et ouf au bout, c’est la tête de station, en avant pour la cité interdite.

Là, nous prenons une charmante guide chinoise dont nous oublions fort maladroitement de négocier les tarifs… Au final : 150 + 60 … la grande arnaque ! D’autant plus qu’elle avait voulu nous faire griller les pavillons des concubines, dont je n’ai toujours pas vu le théâtre d'ailleurs… Puis, nous déjeunons dans le fast food plutôt bon et il me semble nouveau de la cité impériale que je n ‘ai jamais vue autant remplie !

Nous partons pour la colline de charbon, casquettes rouges, casquettes jaunes ! De là nous piquons sur beihai, loupons les bateaux électriques qui ne marchent plus…(ils s’arrêtent à 16 h 30) et restons longtemps à écouter et regarder un groupe de sept musiciens qui accompagnent six dames qui dansent… typiquement chinois !

Ensuite direction quinghai où je me fais masser très agréablement le dos pour 20 yuans. Ce sont en réalité de vrais masseurs qui étaient autrefois aveugle et j’en sens tout le bienfait. J’aurais du essayer le massage de la tête…



Nous flânons dans les rues, achetons une fausse rolex et regagnons la tour du tambour pour aller dîner avec Romain arrivé de Qinghua en taxi.

Nous plongeons dans le hutong proche du Lusongyuan, qui est devenu boboissime… et dînons dans un vrai petit chinois. En rentrant à l’hôtel, nous retrouvons nos billets de train pour Qingdao et prenons 2 yaourts dans une petite épicerie de notre rue, nous programmons notre dimanche à Simatai.